LOIN DES REGARDS
L’homme se
promenait beaucoup ! Il devait bien connaître les villages qu’il
traversait de long en large ! Pourquoi ? pourrait-on lui
demander ! Pour le plaisir, aurait-il dit, de la marche à pieds !
Mais ce jour-là,
un mardi, il était arrivé tôt, il avait garé son véhicule pas trop loin d’une
résidence ! Il observait quoi ?
De son véhicule,
on voyait nettement le portail de la résidence ! Celui-ci s’ouvrait vers
8h45 et restait ouvert jusque 9h05, lorsque rentrait la propriétaire des
lieux !
Le lendemain, il
était encore là ! Vers 8h30 ! Vêtu d’une combinaison noire, collée au
corps, et d’une cagoule qui laissait entrevoir ses yeux et sa bouche.
Lorsque la jeune
femme partit à 8h45, conduire son enfant à l’école maternelle, il s’engouffra
dans la demeure, le garage restant ouvert. Il savait que la jeune dame rentrait
son véhicule à son retour. Il se cacha dans un coin du garage et attendit son
retour qui ne saurait tarder.
Lorsqu’elle eut
rentré sa voiture, et à peine sortie, elle fut agrippée et plaquée sur le capot
de la voiture ! Elle avait beau crier, hurler même, il n’en avait cure, le
portail se refermait automatiquement ainsi que la porte du garage !
Il
lui souleva la robe jusque sur la tête, lui arracha sa petite culotte et
entreprit de la posséder sans autre forme de procès ! Lorsqu’il eut
terminé sa besogne, il la saisit par les cheveux et la mit à genoux devant lui,
ôtant la capote qui lui servait de protection ; il lui ordonna de nettoyer
son matériel, ce qu’elle fit sans outre mesure craignant pour sa vie !
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Puis en
continuant de lui parler avec une modification de la voix, il la menaça si elle
parlait à quelqu’un de son agression, lui promettant de ne pas
recommencer ! En pleurs, elle jura qu’elle garderait le silence s’il ne
lui faisait aucun mal !
Mais c’était, ne
pas compter sur l’esprit démoniaque de l’homme !
Finalement la
dame ne dit rien, que ce soit à son époux ou à la police ! Néanmoins elle
avait peur et refermait systématiquement le portail lorsqu’elle partait à
l’école, surtout le mardi !
Quinze jours
s’écoulèrent : Simone (c’est son prénom) semblait rassurée, mais l’homme
attendait ce jeudi qu’elle parte de nouveau, il eut le temps de s’engouffrer
avant que le portail se referme ! Et chance ou inadvertance, la porte du
garage resta ouverte ! Il décida de visiter les lieux et finit sa visite
dans la chambre à coucher, il n’avait plus qu’à attendre le retour de la jeune
femme !
Celle-ci revint
une heure plus tard, elle avait entrepris de faire quelques courses et ne
pensait plus à cet homme ! Elle rentra la voiture dans le garage, surveillant
autour d’elle avant de sortir les courses et les ranger dans la cuisine, c’est
alors que l’homme surgit. Elle aurait voulu crier mais sous la surprise aucun
son ne sortait de sa bouche et l’homme, la ceinturant, l’entraîna dans la
chambre à coucher.
Là, il entreprit
de la mettre nue complètement, elle sanglotait mais ses larmes n’eurent aucun
effet sur l’homme. Puis il s’allongea sur elle, lui suçant les seins et la
pénétrant lentement mais sûrement ; Simone ne disait mot, lui, il lui
parlait doucement.
- Aie confiance,
tu prends ton plaisir aussi malgré tes larmes !
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Lorsqu’il eut
terminé sa besogne, il lui ordonna de s’asseoir sur le bord du lit et, ôtant sa
capote, il lui demanda de nettoyer de nouveau son matériel.
Simone parla
enfin :
- Pourquoi
faites-vous ça ?
-
Quoi donc ! Le nettoyage !
-
Non ! Que vous me violez deux fois déjà !
- Tu es jolie et
tu me plais beaucoup !
- Vous ne
deviez pas revenir !
- Les promesses
n’engagent que ceux qui y croient ! Et tu y prends un certain plaisir, je
me trompe ?