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ÉLISE

 

Je vous relate la passion salvatrice de mon épouse de 23 ans qui présente un physique agréable, des yeux pers, de longs cheveux, un visage aux lèvres sensuelles, et des guenilles bien pendantes. Une pratique de la gymnastique lui confère un pubis de danseuses de cabaret. ÉLISE souhaite la discrétion. Sa guérison l’incite à livrer ses talents. Bénéficiant de quelques jours de congé, je vous livre notre histoire en citant ses impressions. Ses parents et sa sœur habitent un autre département. C’est heureux.

J’ai 24 ans, cadre commercial au sein d’une grande Société « Import-export » qui m’envoie comme négociateur à l’étranger. Je suis tolérant, sérieux, « de la probité et du désintéressement financier personnel », m’a-t-on dit souvent, ne fume pas, ne consomme pas d’alcool et malheureusement ne rentre guère au logis. Ce qui résulte que ma compagne me voit très peu et que nous ne profitons pas de notre intimité pour mieux vivre présentant ainsi une carence sexuelle. Aussi, je m’informe chaque jour de son moral, de ses relations afin qu’elle prenne goût à la vie.

 

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Licenciée en lettres, mon épouse a perdu son emploi chez un architecte qui a pris sa retraite, sans successeur. Se retrouver ainsi sur le carreau, c’est dur, très dur. Seule à la fermette d’un hameau boisé, avec l’avantage de recevoir sans être épié, elle a subi un soir l’effroyable agression et les menaces d’un malade qui l’a traumatisée. Cet individu a brisé les vitres de la porte d’entrée ainsi que celle d’une fenêtre. Depuis la plainte, Élise s’est désespérément bloquée, elle en a retenu des séquelles entraînant des crises d’angoisse, un dérèglement menstruel, un zona très douloureux, causant une détresse psychologique conséquente. Ne pouvant se résigner à vivre comme un zombie, je me suis battu pour rendre ses journées heureuses. Le médecin nous a communiqué l’adresse d’un guérisseur. Ce “Boris’’ âgé, consciencieux et discret, a donné confiance à Élise.

Après une longue conversation, à cœur ouvert, chez ce guérisseur, celui-ci lui a conseillé, sans tabou et en conclusion de pratiquer une sexualité différente comme thérapie afin de chasser sa peur et de libérer sa conscience :

- Avec le soutien de votre mari, vous ne devez pas, madame, vous renfermer sur vous-même. Vous avez le choix entre des antidépresseurs, des médicaments hormonaux ou un traitement sexuel plus agréable. Si vous ne faites rien, vous risquez des soucis ultérieurs graves surtout au retour d’âge.

- Je choisis le naturel, lui a-t-elle répondu.

 

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- Alors, soyez bien décidée à vous soigner. Il faut commencer par rencontrer et choisir des hommes suivant vos pulsions afin de pratiquer régulièrement l’inexorable fellation avec le sperme en absorbant la plus grande quantité.

Avec hygiène, ces succions figurent une expression de la nature allant au-delà des envies pour vous aider à vivre votre propre remède. Vous devez sérieusement vous appliquer à sucer et ainsi faire preuve d’audace pour vous affranchir, progresser et recouvrer la santé. Vous allez vous métamorphoser !

Sous aucun prétexte, ce traitement vous interdit de vous attacher de sentiments qui nuiraient au couple. Ne vous culpabilisez pas, tout au contraire, éviter et refouler toutes contrariétés. Oubliez les camisoles mentales de notre société. Vous allez aimer cette médication qui donnera un sens à votre vie. Sucer le sperme est la clé de votre santé, a exhorté avec insistance le guérisseur.

La suite lui a donné raison.

- Ma chérie, j’approuve entièrement ce soin, dis-je, tu es au parfum, et ne passe pas à côté de la chance pour te soigner naturellement. Avec un dévergondage sans péché et nécessaire, tu gagnes la liberté de te rassasier de glands. C’est une bonne obligation.

 

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à suivre