LA CHASSE AUX ŒUFS

 

Je ne vous présente pas Maxime HALLE, c’est lui qui était parti en vacances en 2010 dans le sud et en revenant s’est arrêté pour la nuit dans un couvent prés d’EVELLE (voir le livre Mondes Étranges).

En cette année 2015, il récidive et part pour visiter la MEUSE, la LORRAINE et l’ALSACE. La LORRAINE, il connaît pour y avoir travailler deux années en 1970 et 1971. Il s’était fait des amis, et ce fut l’occasion de les rencontrer, d’abord à ROMBAS, HAGONDANCHE, puis METZ et ensuite l’ALSACE : STRASBOURG : le Parlement, le camp d’extermination de Le STRUTHOF, le champ de feu, puis COLMARS avec une poussée en Allemagne pour s’y procurer des cigarettes (des ROLLS à moitié prix de la France), MULHOUSE, ST GOGHOL où il y a passé des vacances une fois puis le Ballon de GUETVILLERS, le col du BUSSANG et retour vers NANCY où il s’arrêta à MONTAUVILLE, là où se situe la tombe de son grand-père tombé en 1915. Il remonta sur VERDUN : Les tranchées des baïonnettes, l’Ossuaire de DOUAUMONT, le Fort de VAUX.

Enfin remontée vers l’ARGONNE. Dans quelques heures il sera enfin chez lui. Alors qu’il se dirige vers la Butte de MONTFAUCON, un léger petit incident moteur (la courroie de l’alternateur) l’oblige à stopper et à chercher un garage qui voudra bien le dépanner.

 

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C’est chose faite mais il est prés de 20 heures ; il a eu le temps de prendre un encas. Il part visiter le monument Américain mais n’a pu monter les 234 marches de la tour. Il part vers ROMAGNE, voir le plus grand cimetière Américain. Il est prés de 22 heures lorsqu’il reprend la route de VOUZIERS. Alors qu’il se trouve entre LONGPRE et LONGWE, un violent orage éclate.

Ses essuie-glaces ont du mal à suivre et l’un d’eux s’éclipse. Maxime HALLE ne peut continuer ainsi ! Il avise les alentours et aperçoit au loin une petite fermette ; il décide de s’y rendre en roulant doucement. Il prend un petit chemin qui le conduit dans une cour de ferme. Elle semble abandonnée.

Et l’orage qui n’arrête pas, des éclairs, le tonnerre, une averse de grêles, des bourrasques de vent, la totale quoi ! Il décide de s’installer confortablement dans son véhicule. Il finit par s’endormir du sommeil du juste.

Vers 7 heures du matin, un homme hirsute s’approche du véhicule, jette un œil à l’intérieur et constate que Maxime dort encore. Il retourne dans l’habitation qu’il venait de quitter, rentre dans sa cuisine et prépare le café. Puis il pose deux bols sur la table ainsi que du pain et de la confiture.

Il ressort, se dirige vers la voiture et tape à la vitre. Maxime sursaute aux coups entendus ; Il ouvre les yeux et voit un visage qui le regarde à travers la vitre. L’homme lui parle mais il n’entend ou ne comprend pas. Maxime baisse la vitre.

- Oui !

- Le café est prêt, vous pouvez venir !

Maxime HALLE s’extirpe de son véhicule, il est aveuglé par les rayons du soleil, il cligne des yeux et emboîte le pas à l’homme. Ils rentrent dans la cuisine où l’odeur du café se répand dans la pièce.

 

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- Asseyez-vous là ! Je vous sers.

Sur ce, il saisit la cafetière et remplit les deux bols.

- Vous avez du pain et de la confiture. Servez-vous ! Idem si vous voulez encore du café.

Que faîtes-vous ici, demande-t-il ensuite ?

- Je pensais dormir tranquillement dans un coin tranquille à cause de l’orage mais la brume m’a caché l’entrée de la ferme. Je me suis enfin arrêté et je me suis endormi.

- Heureusement que vous n’êtes pas aller plus loin, vous auriez fini dans la fosse à purin.

Puis sans dire un autre mot, l’homme ingurgite son bol de café et se lève.

- Vous avez le temps, je pars aux champs.

Maxime HALLE se prépare deux belles tartines qu’il recouvre de confiture et commence à tremper la première dans le bol qu’il engloutit aussitôt. Lorsqu’il en a terminé et but son bol, il va chercher la cafetière et s’en reverse un autre pour finir la seconde tartine.

C’est alors qu’il voit à travers de la vitre de la fenêtre une jeune fille nue qui prend une douche sous un appentis. Il la regarde sidéré en oubliant même de manger. Une jeune fille d’environ 16 ans, des seins bien formés et pointant droits, pas trop gros ni trop petits. Une chevelure légèrement brune identique à celle de son pubis. Ce n’est donc pas une teinture ! Il la regarde longuement sans penser, attirer par la vision que lui donne ses gestes gracieux qui caressent ses seins, son entrejambe, ses fesses et qui après avoir rincé sa petite chevelure, coupe l’eau et se dirige vers la cuisine où il se trouve.

Il prend une position de côté pour montrer qu’il n’a pas pu la voir et mange sa tartine lentement.

 

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La petite entre :

- Bonjour ! Vous êtes réveillé ?

- Oui, oui ! dit-il sans se retourner

Elle prend une serviette éponge qui l’attendait sur un dessus de chaise et commence à s’essuyer partout. Elle sourit même en voyant l’air gêné de Maxime qui refuse de se tourner vers elle.

- Ça vous dirait de faire un tour dans la ferme et ensuite dans la prairie en attendant le repas du midi.

- Heu… oui, oui !

Elle prend un bol dans le buffet, saisit la cafetière et se dirige vers la table. Elle s’assoit devant lui, se verse du café et lentement commence à le boire. Maxime ne quittait pas des yeux son bol. Cela amusait la petite qui maintenant se coupe une tartine qu’elle enduit de confiture et termine ainsi son petit déjeuner.

Maxime redoutait que le père rentre dans la pièce boire une tasse de café et le voit ainsi en extase honteuse devant sa fille nue.

- Bon, je vais m’habiller !

Là, il la regarde enfin, elle est de dos, bien sûr ! Elle saisit une salopette accrochée à un clou et l’enfile devant lui sans aucune pudeur. Elle se lève et il entrevoit ses seins prêts à sortir du tablier, à l’extérieur des bretelles de la salopette.

- Vous savez quoi !

- Non !

- Tenez ! Mettez celle-ci. C’en est une à mon père, vous serez plus à l’aise pour la promenade.

- Mais… je ne sais si je peux. Que va dire votre père ?

- Ne vous inquiétez pas, il est parti avec son tracteur, on ne le reverra pas avant midi.

- Oui, mais quand même ! On ne se connaît pas !

- Qu’importe !  Vous êtes en vacances  et moi aussi, ainsi que mes deux frères plus jeunes qui dorment encore.

 

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Voilà autre chose, pense Maxime. Mais qu’est-ce que je fais ici. Je devrais me sauver sans demander mon reste. Mais il est sortit de ses réflexions par la jolie voix de la gamine.

- Allez ! Enlevez-moi tout mais tous ces vêtements et passez la salopette. Vous ne regretterez pas votre journée.

- Je l’espère, dit-il dans un souffle et se déshabillant finalement en essayant d’en montrer le moins possible de son anatomie. Il se sentait tout nu malgré la salopette.

- Ah, enfin ! Allez on y va !

- Mais où donc ?

- Ça vous dirait d’aller à la chasse aux œufs !

- Je veux bien, mais ce n’est pas Pâques !

- Ça ne fait rien, on va visiter la ferme en même temps. Cela vous plaira.

Puis il la suit, elle lui montre les étables à vaches, les écuries à chevaux, le parc à cochons et les moutons au loin. Maxime cherche des yeux le poulailler, mais ne le voit pas.

Ils arrivent à la grange.

- Voilà, c’est ici qu’on trouve des œufs. Venez, suivez moi !

Il la regarde monter sur un ballot de paille et se hisser sur le second.

- Venez ! dit-elle de nouveau.

Maxime grimpe alors à son tour.

- Au fait, comment tu t’appelles ?

- Moi, c’est Alexiane et toi !

- Moi, c’est maxime, Maxime HALLE.

- Je t’appelle Max et toi tu m’appelles Alex.

- Ok ! Va pour Alex.

- Bien, que je t’explique Max, il faut chercher des œufs en aveugle. Je te mets un foulard sur les yeux et je te guide.

- Pourquoi ! C’est étrange tout ça !

 

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- C’est un jeu. Allez, attaches le foulard !

Maintenant avec ta main gauche tu frôles la paille jusqu’à ce que tu trouves un œuf, si tu t’écartes je te le dis.

Max, à quatre pattes, frôle la paille devant lui, il arrive prés d’Alex qui est couchée sur le dos.

- Vas-y ! Continue tu approches.

Il sent le tissu de la salopette, arrive sur le tablier, il sent la bretelle…

- C’est en dessous !

Il glisse sa main sous la bretelle, redescend légèrement sous le tablier et empoigne un sein d’Alex. Il ne peut s’empêcher de le malaxer lentement.

- Maintenant avec ta main droite, dit-elle.

Il recommence l’opération, mais arrive sous son aisselle.

- Un peu sur la gauche et descend, redit-elle. Max s’exécute et saisit le deuxième sein dans sa main. Il les malaxe à présent tous les deux et sans doute pris par les sens, il s’enhardit.

- Je peux les gober ?

- Bien sûr ! dit-elle et en même temps elle déboutonne les bretelles et rabat le tablier.

Max ne voit rien, mais devine ce qu’elle a fait. Il enfourne l’un après l’autre le bout de ses siens dans sa bouche, titille des dents les tétons naissants, Alex pousse de petits cris. Tout en continuant de les malaxer, Max descend en l’embrassant vers le bas du ventre d’Alex. Il ne peut aller bien loin, elle se dégage brusquement.

- C’est à moi maintenant de chercher. Donne moi le bandeau !

Max s’exécute ! Le foulard enlevé, il voit qu’Alex a refixé ses bretelles et ajuste le bandeau sur ses yeux.

- Couche-toi que je cherche !

Max se demande où elle veut bien en venir. Mais il obéit

 

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et s’allonge, il la voit à quatre pattes chercher d’hypothétiques œufs. Elle arrive tant bien que mal à se positionner entre ses jambes, insérer ses mains dans les ouvertures latérales de la taille et de se saisir de ses roubignoles. Une dans chaque main.

- Ça y est, je les ai trouvés.

- C’est bien, qu’est-ce qu’on fait maintenant ?

- Je vais les gober, qu’est-ce que tu crois !

Là, il prend peur !!!

- Regarde, dit-elle, il y a une ouverture bien pratique. C’est la braguette, bien sûr !

Là, elle lui sort Kiki d’un seul mouvement de ses doigts. Kiki est fier qu’on lui sorte la tête qui était déjà bien haute et dure. Sans qu’il puise faire un autre geste ou dire quelque chose,  Alex a déjà englouti  kiki dans sa bouche et commence à le laminer sévère. L’andouillette à col roulé n’en revient pas et de colère crache dans la bouche d’Alex qui ne le laisse pas partir ; elle l’aspire, le suce, le rougeoie, le violettise, lui fait rendre l’âme.

Max ne dit mot, il est cramponné au ballot de paille et se laisse ainsi martyrisé. La petite a réussi à lui gober d’un seul coup ses deux œufs.

- Allez, fini de s’amuser, on va faire un tour en cheval, reprend-elle en se dégageant et sautant au bas des ballots. Max se rajuste et prend le même chemin.

Les voilà arrivés devant l’écurie.

- Tu vas prendre le cheval de mon père, moi j’ai le mien.

Nous entrons, quatre chevaux attendent ; deux magnifiques andalou ou anglo-saxon alezan et deux poneys pour les deux frères. Le plus grand du nom de Fulgor est celui du père et l’autre plus petit du nom de Vigor est celui d’Alex.

- Je vais les seller, je suppose que tu ne sais pas le faire.

 

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à suivre